« Commencer à penser commence à être mis à mal », écrivait Albert Camus, et il est difficile d'être en désaccord avec cela. Contempler sa vie signifie s'abattre, s'arrêter, commencer à revoir ses expériences, se débarrasser du superflu et de l'inutile, détruire l'ancien dans l'espoir de construire le nouveau, en d'autres termes, être miné. Il est impossible de ne pas remarquer la sévérité de ce mot car cette action est associée à la douleur, à la perte, à la nécessité de choisir des itinéraires difficiles et parfois de prendre des risques pour ne pas commettre de nouvelles erreurs et ne pas dévier du chemin tracé. Mais est-ce que cela vaut la peine d’endurer la douleur ? Que se passe-t-il si nous suivons simplement le courant ? Comment se déroulera alors notre vie ?

Le philosophe français Albert Camus a posé des questions similaires dans son célèbre essai « Le mythe de Sisyphe ». En bref, le mythe grec ancien est le suivant : les dieux ont condamné Sisyphe, parce qu'il était trop arrogant et trop douteux, pour rouler une énorme pierre sur le sol. montagne, qui ne cessait de tomber et devait tout recommencer. Il semblerait que quoi de pire que ce travail inutile ? À quoi pensait Sisyphe en grimpant au sommet de la montagne ? Et qu'importe de lui ?

Peut-être devrions-nous admettre que nos vies ressemblent un peu à ce Sisyphe ? Abordez les pensées et les sentiments d'Albert Camus, sa philosophie. Peut-être trouverez-vous des réponses à ces questions difficiles.

• Explorez le monde qui vous entoure et trouvez des notes philosophiques.
• Amenez la pierre vers le haut, de plus en plus haut, et si elle tombe, eh bien, recommencez, c'est votre punition.
• Choisissez votre chemin correctement. Vos décisions détermineront la fin de la partie.
• Découvrez la philosophie d'Albert Camus. N'essayez pas de comprendre chaque mot, laissez-le simplement vous traverser.
• Profitez du monde du jeu abstrait et trouvez différentes façons de passer.
• Et écoutez également de la musique d'ambiance et des effets sonores.

« Commencer à penser commence à être mis à mal », écrivait Albert Camus, et il est difficile d'être en désaccord avec cela. Contempler sa vie signifie s'abattre, s'arrêter, commencer à revoir ses expériences, se débarrasser du superflu et de l'inutile, détruire l'ancien dans l'espoir de construire le nouveau, en d'autres termes, être miné. Il est impossible de ne pas remarquer la sévérité de ce mot car cette action est associée à la douleur, à la perte, à la nécessité de choisir des itinéraires difficiles et parfois de prendre des risques pour ne pas commettre de nouvelles erreurs et ne pas dévier du chemin tracé. Mais est-ce que cela vaut la peine d’endurer la douleur ? Que se passe-t-il si nous suivons simplement le courant ? Comment se déroulera alors notre vie ?