« Le chagrin comme un chien errant » est une courte pièce interactive sur une jeune factrice dans une communauté rurale soudée. À l’extérieur, la Seconde Guerre mondiale fait rage à son paroxysme. Nadia a treize ans. Elle livre des journaux, des lettres. Et des avis de décès aux familles des soldats tombés au combat.

Le personnage de Nadia est inspiré de la grand-mère de l’auteur. Inspirée par des récits d’enfance passés dans un village près de Rjev, à proximité de l’un des champs de bataille les plus brutaux du front de l’Est. La plupart des intrigues et personnages sont issus de récits de guerre transmis par des proches et des villageois ; de nombreuses lettres sont authentiques.

Les inspirations visuelles principales du jeu sont les dessins d’enfants, le néo-expressionnisme, l’art populaire russe (lubok) et l’illustration de livres soviétiques.

« Le chagrin comme un chien errant » est une méditation sur la guerre, la communauté et le destin humain — entre documentaire et conte populaire russe.

Caractéristiques :
- Un roman visuel avec des éléments d’aventure.
- Une histoire riche et émouvante, inspirée de souvenirs et de contes folkloriques russes.
- Graphismes 2D originaux de l’auteur.
- Bande sonore troublante et singulière.
- Dialogues concis et authentiques.
- Durée : 60 à 80 minutes.
- Un village peuplé de personnages hauts en couleur.

« Le chagrin comme un chien errant » est une méditation sur la guerre, la communauté et le destin humain. Un village isolé pendant la guerre. Les hommes partent un par un, le long d’un sentier forestier sinueux teinté de rouge par les incendies lointains, et ne reviennent pas. La jeune Nadia devient facteur à temps partiel pour remplacer sa mère malade. Elle est désormais messagère d’espoir et de malheur.